La direction d’ATOS souhaite en effet intégrer le traitement des intermissions dans la GPEC (Gestion Prévisionnelle des Emplois et Compétences). Elle tente au passage d’y glisser une charte de l’intermission dont les effets nuisibles ont été démontrés lors de son expérimentation chez Infogérance. La CFE-CGC du groupe ATOS s’oppose en bloc à cela.
- La CFE-CGC veut parler d’intermission et non pas d’inter contrat,
- La CFE-CGC refuse de négocier la charte de l’intermission (c’est « négocier le poids des chaînes »),
- La CFE-CGC estime que l’intermission n’a rien à faire dans un accord GPEC mais, vu la dégradation des conditions de travail qu’elle entraine, doit être négociée dans le cadre de la QVT (Qualité de Vie au Travail).
La CFE-CGC est le seul syndicat sur ces positions. Partagez-vous sa vision ?
La FIECI CFE-CGC le syndicat du groupe ATOS BULL AMESYS EVIDIAN