Voici les questions que nous avons posées à D. Le Coguic pour qu’il les remonte à la direction générale en tant que membre du CODIR :
L’avenir des activités du site
Les moyens pour développer et maintenir nos expertises (fuite des missions ; difficultés de recrutement ; difficultés à retenir les jeunes et manque d’attrait d’Atos)
La stratégie de BDS au sein d’Atos
Les gels en tout genre (déplacement, formations, investissements)
Le partage des richesses (surtout par l’augmentation des salaires)
La lourdeur des procédures et la qualité des outils
L’hypercentralisation des décisions provoquant un manque d’autonomie des responsables chez Atos (directeurs, managers, …) et inadaptés aux spécificités pays, activités , et métiers.
Q : pourquoi un horaire si tardif pour l’évènement à Alpes Congrès ? (commun avec Grenoble)
Il s’est dit intéressé par nos retours du terrain. Les réponses obtenues nous ont montré que D. Le Coguic étaient très éloignées de notre réalité. Pour lui, il faut accepter Atos et ses process tels qu’ils sont : « On ne les changera pas ». Il s’est engagé à remonter nos questions.
Toutefois son discours extrêmement positif et valorisant d’Atos est resté en total décalage avec nos perceptions et ce que les salariés nous remontent.
Notre conclusion : Atos est une société à 2 vitesses d’un côté la finance et la direction de l’autre les salariés créateurs de richesse qui n’en profitent pas ….
La FIECI CFE-CGC le syndicat du groupe ATOS BULL AMESYS