A plus d’un mois de l’échéance, la direction d’ATOS est vraiment très pressée de faire signer une prolongation de l’accord télétravail car ramener tout le monde sur site le 2 janvier serait bien compliqué.
Pourtant ATOS aimerait bien réduire le nombre de jours de télétravail, revenir à plus de jours fixes mieux adaptés à la réduction des mètres carrés, trouver des moyens pour réduire les coûts.
Plutôt que de prendre le risque de laisser la direction imposer une charte moinsdisante, la CFE-CGC ATOS / EVIDEN préfère un statu quo d’un an
et l’ouverture en 2026 une vraie renégociation.

