Les méthodes d’infogérance et plus largement de la GBU pour faire face à la crise n’ont plus de limite. Dans un écrit ATOS place dans son collimateur les représentants du personnel, les plus de 55 ans, les personnels relevant de filières métiers jugées obsolètes ainsi que les handicapés… Ben voyons ! Ne pensez pas que les salariés assidus soient pour autant préservés. Le rapport niveau code GCM / rémunération constituerait un autre critère à risque dès lors que votre appointement ne serait pas de nature à favoriser la marge des actionnaires. Le défenseur des droit a été saisi et une enquête est ouverte.
Les personnels en inter-chantier ne sont pas à meilleure enseigne. La Direction stigmatise leur situation pour les amener à culpabiliser et à se plier à des méthodes de reclassement façon « job Dating » des plus perturbantes ! Les moins performants à l’exercice disparaitront. Des entretiens « minutes » où votre force de conviction doit à tout prix vous extraire du ‘bench’. Sans compter les pressions exercées pour vous inciter à quelques libertés sur votre CV qu’ ATOS exploitera à vos dépens. ATOS n’est-il pourtant pas censé enrichir nos compétences par des formations, nous garantir un emploi et assurer notre employabilité… Pressions également pour vous amener à accepter une mission en deçà de votre niveau de compétence que la Direction remanie à son intérêt, suivant ou pas les dispositions de l’article 8-C de la CCN Syntec que nous vous invitons à lire attentivement…
Le syndicat FIECI CFE-CGC du groupe ATOS